LE SOUFFLEUR

Publié le par christiane loubier

 

Le printemps souffle

Des heures et des heures d’ombre

Fleuries de blanc

 

Des arbres à fleurs

Dans ta nuit plâtrée d’absence

 

 

 

Christiane Loubier

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G
Printemps attristé, celui du souffleur, qui allie les longues ombres au blanc des fleurs des arbres (des pommiers?) et appose le plâtre sur la nuit. Pas sûr que la gaieté soit au rendez-vous. Mais le printemps dans son malaise subsiste.
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C
Non ce n'est pas la gaieté qui me pousse à l'écriture. je préfère une poétique de l'ombre. Les ombres conjurées par la luminosité, ici par la lumière blanche des arbres à fleurs.. Merci beaucoup GD, vos commentaires me sont précieux.