ET COMME AU FOND DU LAC OBSCUR...

Publié le par christiane loubier

Et comme au fond du lac obscur la pauvre pierre
Des mains d'un bel enfant cruel jadis tombée :
Ainsi repose au plus triste du cœur,
Dans le limon dormant du souvenir, le lourd amour.
 
 
 
Oscar Vladislas de Lubicz Milosz (1877-1939)
Symphonie de septembre (Extrait)

Publié dans Anthologie

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