ET COMME AU FOND DU LAC OBSCUR...
Et comme au fond du lac obscur la pauvre pierre
Des mains d'un bel enfant cruel jadis tombée :
Ainsi repose au plus triste du cœur,
Dans le limon dormant du souvenir, le lourd amour.
Oscar Vladislas de Lubicz Milosz (1877-1939)
Symphonie de septembre (Extrait)