L'OFFRANDE À LA NATURE
[...] La forêt, les étangs et les plaines fécondes Ont plus touché mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyée à la beauté du monde Et j'ai tenu l'odeur des saisons dans mes mains [...] Anna de Noailles Le cœur innombrable, L'offrande à la nature (extrait), 1901
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Portrait de la comtesse de Noailles par Philip Alexius de László
Source : gallica.bnf.fr
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