À UN POÈTE QUI VEILLE TROP TARD

Publié le par christiane loubier

Demain tes vers tu les trouveras mensongers.
Ton esprit sonne sec, fais-le taire
Et laisse le cri d’un hibou te replonger
Dans l’humide abîme élémentaire.
 
 
 
Lucienne Desnoues
 
Source : Service du livre luxembourgeois, Michel Ducobu, Lucienne Desnoues (Dossier)

Publié dans Anthologie

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