CHAQUE PRINTEMPS QUI REVIENT...
Chaque printemps qui revient
exhale l’odeur de promesses
pourries.
Il a le goût d’anciens
destins.
C’est le surprenant miasme des
vieux puits subitement mis au
jour.
Qui oserait défier le sourire des
caveaux ?
exhale l’odeur de promesses
pourries.
Il a le goût d’anciens
destins.
C’est le surprenant miasme des
vieux puits subitement mis au
jour.
Qui oserait défier le sourire des
caveaux ?
François Jacqmin
Les saisons, Labor, 1988